Islam dénonce le terrorisme
Le verset ci-dessus contient l’expression youbattikounna dérivée du verbe battaka signifiant “couper, rompre”. Le terme youghayyirounna dans le verset vient du verbe ghayyarasignifiant “changer, modifier, altérer de la forme originelle”. A la fin des deux verbes apparaît la lettre nun. Ces expressions du verset 119 de la sourate an-Nisa peuvent éventuellement faire allusion à la copie et au clonage des organismes (Allah est le plus Savant). Il se trouve en effet que les expériences de clonage se menées à partir de cellules tirées de l’oreille de l’animal. Autrement dit, on peut obtenir la réplique d’un être vivant en prélevant des cellules des échantillons coupés dans l’oreille de l’animal, comme c’est décrit le verset.
Un rapport du Centre de Recherche Agricole Fédérale Allemande fournit l’information suivante :
La phase de prélèvement de tissu est courte et simple. Quand un animal est localisé et maîtrisé, un échantillon de tissu comme par clippage de l’oreille peut être prélevé en l’espace de quelques secondes. En outre, des cellules somatiques peuvent être prélevées chez toutes les espèces… Pour le bétail, les porcs, les moutons, les chèvres, les camélidés et les lamas, une procédure unifiée et identique peut être utilisée pour l’obtention d’un échantillon de tissu de l’oreille au moyen de l’appareil utilisé pour clipper les étiquettes d’oreilles… Certes toutes les espèces lymphocytes pourraient être utilisées, mais les cellules somatiques de l’oreille étant plus simples à obtenir sont par conséquent préférables.1
Les organismes clonés au moyen d’échantillons de tissus de l’oreille sont d’actualités dans les articles suivants :
Le Coran faisait déjà mention des changements dans la création des êtres vivants et des “oreilles fendues” à une époque où ni la génétique, ni l’embryologie n’existaient. Cela démontre que le Coran provient de notre Seigneur, Allah, Qui n’est soumis à la notion de temps. Le verset fait également état de la déception de ces personnes quand elles modifient la création d’Allah. Cela suggère éventuellement que le clonage soulèvera plusieurs problèmes auprès des êtres humains. (Allah est le plus Savant.) Certaines déclarations émanant du Centre d’Apprentissage de la Science Génétique de l’Université de l’Utah suivent :
Quand on apprend les réussites de clonage, seuls les succès de clonage nous parviennent. Nous ne voyons pas les nombreuses expériences ayant échoué !Et même chez les clones réussis, des problèmes ont tendance à apparaître, au cours du développement de l’animal vers l’âge adulte.7
On peut lire sur le site du Projet du Génome Humain :
Dolly, le premier mammifère cloné d’un ADN adulte est mort le 14 février 2003. Avant sa mort, Dolly souffrait d’un cancer des poumons et d’arthrite. … Plus de 90% des tentatives de clonages n’ont pas permis d’aboutir à une progéniture viable… En plus des faibles taux de réussites, les animaux clonés ont tendance à présenter une fonction immunitaire plus compromise et des taux plus importants d’infection, de croissances tumorales et d’autres troubles. Des études japonaises ont montré que les souris clonées étaient de consistance fragile et mourraient jeunes… Sembler en bonne santé à un âge jeune ne garantit pas une survie sur le long terme. Il est connu que les clones meurent mystérieusement. Par exemple, le premier mouton cloné d’Australie semblait sain et énergétique le jour où il est mort. L’autopsie n’a pas permis de déterminer la cause de la mort.8
Voici en termes généraux, les risques issus des expériences de clonage :
La matière génétique tirée de cellules vivantes est utilisée dans les expériences de clonage. Quant à la fertilisation, elle se fait artificiellement. Le mécanisme de reproduction créé par Allah est ainsi modifié par ces méthodes, générant des maladies inconnues, des déficiences de développement et des morts précoces. La transcription de ces expériences et des problèmes auxquels elles donnent lieu dans un livre datant de 1400 ans témoigne de l’origine divine du Coran.
Au cours du processus de clonage, l’ADN de la cellule de l’être vivant qu’on souhaite répliquer est examiné au microscope et placé dans l’œuf d’un autre membre de la même espèce. Un choc électrique est ensuite administré afin de stimuler la division de la cellule œuf. L’embryon continue à se diviser, puis est placé dans le ventre d’un membre de l’espèce où il continue à se développer jusqu’à la naissance.
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1 http://www.fao.org/docrep/008/a0070t/a0070t05.htm
2 http://ngin.tripod.com/010502b.htm
3 http://news.bbc.co.uk/2/hi/science/nature/4742453.stm
4 http://news.bbc.co.uk/1/hi/sci/tech/331793.stm
5 http://www.ornl.gov/sci/techresources/Human_Genome/elsi/cloning.shtml
6 http://www.gene.ch/info4action/2000/Jan/msg00061.html
7 http://learn.genetics.utah.edu/units/cloning/cloningrisks/
8 http://www.ornl.gov/sci/techresources/Human_Genome/elsi/cloning.shtml
9 http://learn.genetics.utah.edu/units/cloning/cloningrisks/